Selon une étude de la DARES, 55 % des gens, toutes fonctions confondues, estiment que certaines de leurs compétences ne sont pas exploitées dans leur travail, et j’imagine qu’il ne s’agit pas de compétences culinaires pour un ingénieur ou de compétences en mécanique des fluides pour un cuisinier (quoique).
Ce chiffre renvoie à deux questions qui, si l’on s’y penche un instant, peuvent s’avérer fondamentales du point de vue de l’organisation :
–    Quelle est la valeur de ces compétences inexploitées ?
–    Pour quelles raisons ne sont-elles pas exploitées ?

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